Coeur saignant de sève
larmes qui s'élèvent,
mains closes sur l'écorce
se battent avec force.
J'erre dans un monde
où Vie et Mort se fondent.
J'erre Ô belle Atys
et mes doutes surgissent.
Mon coeur va éclore,
mon âme s'évapore.
Que serais je alors:
L'ombre d'une aurore?
Les nuages se lèvent,
la lumière se fait,
ta silhouette paraît...
N'étais tu qu'un doux rêve?
Réveille moi Atys!
Que ma peine s'évanouisse.
Dans le sable corps repu,
J'ai dit mon plus tendre voeu.
Ma main j'ai tendu
boucle dans le creux.